Mari soumis cocu chaste et humilié

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il y a 4 ans
Ma femme m'a mis sous cage de chasteté et me fais cocu

Je suis un homme de 42 ans, je suis gros, bien gras avec une petite bite et un gros cul. Il faut dire que quand je lui faisais l'amour, je la traitais de vide-couilles, et que j'aimais l'enculer à sec. Il y a deux ans, ma femme a décidé que je n'étais plus baisable et m'interdit donc toutes relations sexuelles. J'ai donc le droit de rester mais uniquement pour lui servir de soubrette et de défouloir.

Elle prend beaucoup de plaisirs à m'humilier et à me faire souffrir. Le gros tas que je suis doit être puni en permanence à cause du gras que je possède et l'humiliation doit être le quotidien des gros tas à p'tite bite me dit elle tous les jours. De plus, puisque mes attributs sexuels sont tellement dégoûtant, il ne peuvent servir pour le plaisir d'une femme et doivent donc être t o r t u r é s tellement ils sont laids. Elle ajoute que, bien entendu mes couilles, ma bite et mon trou du cul devront souffrir en priorité.

Cela fait deux ans maintenant que je lui sert de serpillière. Au début, elle m'a juste privé de sexe. La frustration fut difficile mais excitante et je me masturbais tout le temps. Le soir elle rentrait fatiguée et je devais lui préparer à manger. Elle m'autorisait à lui caresser les pieds pour la détendre. Ceci provoquait chez moi une érection systématique et je devais me cacher dans les toilettes après pour me masturber.

Un soir elle rentra plus tôt et j'étais dans la salle de bain en train de me branler. Elle ouvrit la porte et me trouva entièrement nu, le gras du bide pendouillant, à quatre pattes sur le tapis, la main sur la bite qui astiquait. Je lui tournais le dos, et le spectacle que je lui offrais était celui de mon gros cul écarté, les couilles pendantes et ma main droite à l'ouvrage.

Je fus couvert d'insultes, le premier coup de pied partit et atteignit directement mes couilles. La douleur fut énorme, je m'effondrais au sol en essayant de protéger mes parties, elle me traitait de gros porc dégueulasse, de tas de graisse répugnant. Le deuxième coup de pied toucha la raie de mes fesses et l'impact eut lieu directement sur l'anus, la douleur fut aussi très v i o l ente. J'étais prostré au sol et elle continuait à m'insulter. Elle me fit relever en me tirant les cheveux et me traîna à quatre pattes jusqu'au salon en prononçant toutes les choses dégradantes qu'elle pouvait imaginé: j'étais m o r t de honte!

Elle me gifla à plusieurs reprise et me dit alors qu'elle m'interdisait de me branler, d'éjaculer et de bander. Se rendant compte immédiatement qu'elle ne pourrait pas me contrôler, elle m'ordonna de me connecter sur un site d'articles sexuels et de chercher les ceintures de chasteté. Elle prit son temps pour choisir et m'ordonna de commander et de payer une cage de chasteté qui maintenait ma queue en position de repos, empêchant ainsi tout érection et toute masturbation, et f o r ç a nt mes couilles à être écartées le plus possible.

Le système se fermait avec un cadenas dont elle garderait la clef. Elle indiqua elle même la taille de l'article: la plus petite existante. Je dues payer moi même l'objet en question. En attendant la livraison, je fus obligé de vivre nu à la maison, de façon à ce qu'elle puisse surveiller l'état de ma bite en permanence et je n'avais pas le droit de rester seul dans une pièce pour que je ne touche pas. Même pour faire mes besoins elle me surveillait, en profitant pour m'inonder de commentaires insultants sur mon odeur. La nuit elle m'attacha les mains dans le dos pour être sûre que je ne me touchais pas.

Deux jours plus tard, le produit fut livré. Elle s'empressa de l'installer. Histoire de m'humilier, elle enfila des gants de chirurgien pour toucher ma « nouille ». Le logement pour la verge était vraiment étroit et je dues m'y reprendre à plusieurs fois pour l'enfiler. Puis elle saisie mes testicules et tira v i o l emment dessus pour fixer la barre de maintien. Elle attacha le cadenas. Elle rigolait et me trouvais ridicule. Pour vérifier l'efficacité du produit elle se déshabilla entièrement. Cela faisait deux ans qu'elle ne s'était pas mise nue devant moi. Elle se tourna dans tous les sens en me montrant de près les poils de sa chatte, ses nichons, la raie de son cul en me disant:

  • Alors, ça te fais envie gros porc, ça t'excite? Tu peux même plus bander hein, gros tas de m e r d e .

Elle se tourna et écarta ses fesses:

  • Aller, renifle! Ça pue, t'aime ça, hein!

Ma queue essayait de gonfler mais la coquille m'en empêchait. La douleur était atroce, j'avais mal à la bite. Impossible de se secouer la nouille. Je voulais la prendre, je voulais m'astiquer, je voulais juter mais impossible! Elle cria:

  • Quel pied! Pendant toutes ces années où tu m'as prises, sans me demander mon avis, où tu m'as f o r c é le cul alors que j'aimais pas ça, où tu t'es soulagé dans ma bouche, où je n'ai été qu'un vide-couilles! Alors maintenant je vais te priver de soulagement sale porc! Elle me cracha dessus.

Voilà , je ne pouvait plus me masturber et elle allait en profiter un maximum. A partir de ce jour, elle me traita vraiment comme une m e r d e qui devait lui obéir.

Elle me dressa la liste de ce que je devais faire: le ménage: en particulier les WC qui devaient toujours être niquel! Quant elle chiait, elle ne passait jamais la brosse et ne tirait pas la chasse. A la place de la brosse, elle estimait que mes ongles était parfait pour ça. Elle me f o r ç a i t à nettoyer après chacun de ses passages et en général m'obligeait à rester le nez au dessus de la cuvette pendant plusieurs minutes avant de m'autoriser à nettoyer. Les WC lui étaient réservé et m'étaient complètement interdit d'utilisation. Le reste de la maison devait être toujours propre. Pour mes besoins elle décidait de où et de quand.

La cuisine: je devais me nettoyer les mains avec une brosse très dure avant chaque préparation. Moi je n'avais droit qu'à ses restes dans la gamelle du chien où elle jetait touts ses restes et crachait dedans. Quelque fois, elle urinait dans la gamelle avant de me servir. Je devais bien entendu la finir jusqu'à la dernière miette.

La lessive: je devais nettoyer, repasser et ranger tout ses vêtements mais avec des gants car j'étais sale. Mes vêtements étaient limités à une seule tenue pour aller travailler. Tous le reste fût jeter. Plus de slips ni de chaussettes. Il me restait un pantalon, une chemise, une paire de chaussure qu'elle acheta deux pointure en dessous de ma taille pour que je souffre le plus possible. Le reste du temps je devais être à poil. Je ne pouvais nettoyer mes vêtements que quand elle me le disait et à la main.

Je n'avais plus le droit au lit conjugal et je dormais par terre devant la porte de la chambre, entièrement nu bien entendu. Je fus raser autour de mon sexe ridicule et dans la raie des fesses. Je devais aller au travail tous les jours avec mes chaussures trop petites. A la fin de la première semaine elle m'a dit de venir devant son bureau. Elle avait préparer des courriers que je devais recopier et signer. Le premier était un contrat dans lequel je signais que j'approuvais d'être en totale soumission à ma femme et que j'acceptais de faire absolument tout ce quel me demandais. Le second était un courrier où je reconnaissait avoir tripoté sa petite nièce Audrey qui avait douze ans en donnant des détails de ce que j'étais censé lui avoir fait subir (doigt dans l'anus, fellation) et elle ajouta des photos polaroids de sa nièce qu'elle avait photographiée nue dans les vestiaires de la piscine. Elle rajouta: 10 ans que je supporte ta graisse, maintenant tu vas en prendre plein le cul et tu ne peux même pas refuser, gros tas de m e r d e !

Le troisième était un courrier comme quoi puisque j'étais impuissant, j'autorisais ma femme à avoir toutes les relations sexuelles qu'elle voulait avec qui elle voulait et que c'est volontairement que je renonçait à toute relation sexuelle avec elle. Le dernier était une lettre à mon banquier où j'ordonnais le virement de mon salaire sur le compte de ma femme tous les mois. Elle me tenait par les couilles. Elle me précisa que: comme je l'avais fais souffrir pendant dix ans, j'allais souffrir au moins autant et que par conséquent je serais corrigé tous les jours au martinet et que je devais trouver ça normal et la remercier à chaque coup que je recevrais et en réclamer d'autres. Je devais bien entendu l'appeler Maîtresse. Elle me demanda de commander sur un internet des gods de gros calibres pour que je comprenne à quel point la sodomie était un grand plaisir ainsi qu'un plug pour que le plaisir soit permanent.

Le surlendemain, le colis était là et moi j'étais allongé sur le ventre sur la table basse, les pieds et les mains attachés à chaque pied de la table. Elle mit des gants de chirurgien m'écarta mes grosses fesses et essaya de m'enculer avec son gros god. Cela ne voulais pas rentrer. Elle dit:

Tu ne m'as jamais lubrifier le cul avant de m'enculer, tu disais que tu jutais plus fort quand tu m'enculais à sec! Alors ça va rentrer à sec!

Elle posa le god à l'entrer de mon trou du cul et sans le lâcher elle se retourna et s'assis dessus. Le god f o r ç a le passage et me défonça littéralement le cul. J'ai crû qu’il allait explosé, la douleur fût horrible, j'hurlais. Elle m'attrapa par les cheveux et me dit:

  • Alors? Tu vas juter plus fort, gros tas de m e r d e ?

Elle m'astiqua le trou du cul pendant vint minutes sans s'arrêter. Je risquais pas de bander entre le douleur et la coquille. Elle ajouta:

  • C'est trop fatigant, je vais trouver une autre solution.

Elle me mit le plug dans le cul avec interdiction de l'enlever, je devais le porter tout le temps et surtout dans la journée en plus de la coquille. J'avais l'impression d'avoir une grosse crotte dans le cul que je n'avais pas le droit de chier. Pour faire mes besoins je devais la supplier de m'autoriser. Comme elle ne voulais pas que j'utilise les toilettes ni que je salisse le jardin.

Elle me faisait patienter plusieurs heures avec mes envies d'uriner ou de déféquer. Quand l'envie était trop forte et que je me tortillais par terre à poil avec mon plug et ma coquille, elle prenait le collier et laisse du chien qu'elle m'obligeait à mettre et elle m'emmenait dans la rue à quatre pattes et à poil. Quand elle avait trouver un endroit qui lui plaisait (souvent un lampadaire entouré de crottes de chiens et recouvert d'urine de chiens) elle m'obligeait à renifler les crottes et l'urine par terre puis me disait de retirer le plug de mon cul, de le nettoyer en le léchant et ensuite de chier au milieu des crottes de chiens sans uriner, ce qui était très difficile. Mais après quelques bons coups de pieds dans les couilles j'ai appris à chier sans uriner. Une fois terminé, elle me disait de remettre le plug sans me torcher. Ensuite elle m'emmène dans des coins à orties où je devais entrer à quatre pattes, cuisses bien écartées et où je peux uriner en m'aspergeant le plus possible. Une fois fini nous pouvions rentrer à la maison toujours dans la même position. Là, bien entendu, j'étais fortement corrigé parce que je sentais mauvais. Ma toilette était faite au jet d'eau froide et à la brosse en chiendent. La raie de mes fesses et mes couilles étaient récurés dans la douleur.

Après trois mois de ce traitement, ma femme me dit un soir qu'elle sortait. Elle m'attacha sur la table basse le cul en l'air et me fouetta longuement le cul et les couilles. A vingt heure elle sortit et ne rentra qu'à deux heures du matin. J'étais toujours attaché. Elle n'étais pas seule. Elle entra dans le salon et dit:

  • Je te présente mon gros tas de m e r d e de mari. Comme tu peux le voir c'est une vrai lopette. Je le garde pour me défouler et pour qu'il me refile sa paye.

Un homme répondit:

  • Et tu t'es fais mettre par un gros tas pareil? Avec une bite aussi ridicule?

  • Oui, mais maintenant c'est fini et j'en profite bien! Je trouve aussi sa nouille ridicule mais comment est la tienne?

L'homme baissa son pantalon, puis son slip. Son engin état énorme. Ma femme s'écria:

  • Voilà ce que j'appelle une bite! Je peux toucher?

Avant même que l'homme ait répondu, ma femme tenait le sexe dans ses mains. Elle le manipulait dans tous les sens et son autre main caressait les grosses couilles de l'homme. L'homme lui dit:

  • Tu es une gourmande?

  • Oui, je n'ai pas baisé depuis deux ans à cause de ce gros porc. Mais je vais me rattr a p e r.

Elle avala littéralement le sexe de l'homme qui avait triplé de volume. Elle qui avait horreur de me sucer avant. Je n'osais pas parler de peur des représailles. Ma nouille était enfermée depuis trois mois et mes couilles recevais des coups tous les jours.

L'homme bandait comme un âne. Je n'avais jamais vu ma femme comme ça. Elle suçait d'une f o r c e incroyable. L'homme lui arracha chemise et jupe. Ils étaient assis sur le canapé. Elle finit de le déshabiller. Avant de la mettre à poil il lui demanda:

  • Tu veux qu'on aille dans un endroit plus tranquille?

  • Non, je veux qu'il voit ta grosse bite dans ma chatte? C'est bon qu'il voit ce à quoi il n'aura plus jamais droit. D'ailleurs s'il essaye de ne pas regarder tape lui sur les couilles.

  • C'est très douloureux tu ne croies pas?

  • Sûrement, mais ça lui fait le plus grand bien.

  • D'accord!

Je ne pouvais même pas éviter de regarder. Il lui enleva son soutien-gorge et sa culotte. La chatte de ma femme était totalement ouverte, dégoulinante. Elle se releva et s'assit sur le sexe de l'homme. Ma tête était située juste devant l'homme assis, ses couilles à hauteur de mes yeux. Je vis les fesses de ma femme s'approcher de l'énorme gland. Plus elle s'accroupissait, pus ses fesses s'écartaient, je reconnu l'odeur si particulière de son anus. Ma nouille se mit à bander, mais la douleur de la coquille me rappela à l'ordre. Je n'avais jamais vu ma femme avec une telle envie de baiser. J'avais envie d'elle et malgré la douleur de la coquille, ma nouille continuait à essayer de bander. L'énorme gland pénétra le sexe de ma femme. Elle cria, comme si son premier orgasme fût instantané:

  • Que c'est bon!!!!!!!!!!

Toujours accroupie sur l'homme, elle astiquait le sexe de l'homme en remuant son cul frénétiquement. A chaque pénétration elle hurlait, sa chatte dégoulinait abondemment. Ma femme sentait vraiment fort de la raie et l'odeur de sa mouille venait se rajouter. Il lui dit:

  • A quatre pattes!

Elle se retira, lécha l'énorme bite et se mis à quatre pattes en haletant:

  • Oui!!! Prend moi comme un chienne...

Ma femme était là devant moi à quatre pattes, telle une chienne. Je n'en pouvait plus! Il lui dit:

  • T'es une vrai salope!

Il lui fessa le cul. Elle gémit fortement. Il la repénétra en continuant de lui fesser le cul, elle hurla de nouveau. Elle avait un nouvel orgasme provoqué par la fessée. Elle cria:

  • Oui!!!!!!!! Tape sur mon gros cul de salope! Vas-y!

Il lui saisie les nichons et lui tortilla dans tous les sens tout en l'astiquant à fond et en lui tapant sur le cul. Elle hurlait de plus en plus fort. Il la traitait comme une chienne et elle adorait ça. Il lui dit:

  • T'es vraiment une sale chienne, en plus tu sens de la raie, tu vas me faire juter! J'ai pas de capote!

  • Tu n'as qu'a te retirer et juter dans la raie de mon cul.

Elle n'avait pas finit sa phrase que l'homme retirait sa grosse bite et la plaçait dans la raie de son cul en jutant de longues giclées puissantes. La raie du cul de ma femme était remplie de jute. Il dit:

  • T'as une serviette pour que je t'essuie?

  • Non! j'ai mieux!

Elle laissa glisser ses genoux du canapé et se retrouva à quatre pattes par terre, le cul à auteur de ma tête. Elle m'ordonna:

  • Lèche gros tas de m e r d e et avale bien tout gros porc.

Elle approcha son cul de ma bouche en disant:

  • Vas-y! Je suis sûr que tu vas aimer le goût de mon trou du cul et de la jute d'homme, grosse pédale! Sinon, je dis à un vrai homme de t'exploser les couilles.

  • Tu penses que ton mari est une pédale?

  • Non, je pense qu'il a horreur de ça mais je pense aussi que c'est moi qui décide pour lui.

Ca me donne une idée...

Je m'exécutais, je léchais toute la quantité de sperme répandue dans la raie de ses fesses, et j'avalais consciencieusement toute la jute. C'était dégoutant et j'avais envie de vomir. Ma nouille n'en pouvait plus. Maintenant, ils étaient assis sur le canapé et il lui parlait à l'oreille. Ils s'embrassaient, elle lui caressait doucement le dessous des couilles pendant qu'il manipulait ses nichons avec douceur. Elle rigolait de plus en plus et finit par dire:

  • C'est une super idée!

Ils partirent dans la salle de bain. L'homme prit son téléphone et composa un numéro en partant. J'entendis la douche coulée et leurs rires pas discrets. J'étais toujours entravé sur la table basse. Près de trente minutes plus tard quelqu'un frappa à la porte. Ma femme, toujours à poil, alla ouvrir la porte. Une voix d'homme me parvint. Un homme gros entra dans la pièce.

Il fixa les yeux sur moi et eut un large sourire. L'homme était petit, très gras, et avait l'air très sale. Ma femme s'approcha de moi et me saisit par les cheveux en me disant:

  • Alors gros porc! T'adore le sexe et ça te manque? Et bien tu vas en avoir du sexe mais pas comme tu aimes. Tu disais assez souvent que tu aimais pas les PD que ça te dégoutait. Moi j'ai envie que tu sois humilié complètement, j'ai envie que tu saches ce que c'est d'être enculé à sec, j'ai envie de te voir pris par autre homme aussi dégoutant que toi!

  • Non Maîtresse pas ça!

Mon insolence fut récompensée par une bonne claque sur les couilles. Elle se retourna vers l'homme gros et lui dit:

  • Alors, il paraît que tu aimes le cul des hommes, alors profites-en, tu peux lui faire tout ce que tu veux, il est là pour être utiliser!

  • Tout ce que je veux???

  • Oui, défoule toi sur lui, il t'est entièrement offert...

  • Je peux le prendre et le faire souffrir?

  • Autant que tu veux! Et tu pourras revenir régulièrement, mon mari a bien le droit à une sexualité aussi...

Elle éclata de rire. Ma femme et son amant s'installèrent sur le canapé pour profiter du spectacle tout en continuant de s'embrasser et de se tripoter. Le gros se déshabilla rapidement. Il était très gras, son ventre pendait et il avait une bonne grosse bite et deux belles couilles. Il s'approcha de moi. Il me souleva la tête en me tirant par les cheveux et me mit un grande gifle à travers la figure en me disant:

  • Hum!!! Que je vais me régaler mon gros!

Il sentait la sueur, l'urine et le vin. Il contourna la table et vint se placer derrière moi. Il me tripota les fesses en les malaxant puis commença a écarter mes deux énormes globes. Il vit mon plug dans le cul et dit:

  • Je vois que tu aimes ça, tant mieux je n'aurais pas besoin de me retenir, je pourrait f o r c e r autant que je veux...

Il retira le plug et m'enfila deux doigts dans le cul sans ménagement. Il me fouillait littéralement le cul. Plus que la douleur c'était la honte et le dégout qui me tenaient. Il me saisit les couilles et les malaxa fortement. La douleur fut vive. Il regarda ma femme et dit:

Elle est ridicule sa bite! Vous avez bien fait de l'empêcher de s'en servir. Quand on a une bite si petite c'est normal qu'on vous empêche de l'utiliser!

Ma femme éclata de rire pendant que son amant lui tripotait la chatte et la raie du cul. Le gros refit le tour de la table, prit une chaise et vint s'asseoir devant moi, sa bite, qui avait grossie et durcie, à hauteur de ma tête. Il me souleva la tête en me tirant les cheveux et m'enfourna sa bite dans la bouche. Sa bite puait l'urine. Il ne s'était sûrement pas lavé depuis plusieurs semaines. Ma femme gémissait tout ce qu'elle savait en disant:

  • Putain que c'est bon! Regarde cette lopette sucer une bite! Oh quel pied! Lèche moi!

Son amant se mit à la lécher, lui bouffant la chatte et le cul pendant qu'elle me regardait sucer. Le gros s'astiquait à fond dans ma bouche. Sa bite était bien dure et s'enfonçait jusqu'à la glotte. Il attrapa le martinet par terre et commença le traitement de mon cul tout en continuant à se faire pomper. Il fit durer le plaisir plus de dix minutes. Mon cul était en feu. Il se retira et fit le tour de la table, il écarta mes fesses et m'enfila sa grosse bite de f o r c e dans le cul. Il me dit:

Je préfère à sec, je bande mieux!

Ma femme eut un orgasme en entendant ces mots et hurla:

  • Vas-y! Défonce le à sec ce gros tas de m e r d e !

Le gros m'explosa le trou du cul. Et se mit à m'astiquer à fond. Il passa la main sous la table, attrapa mes couilles et les tira très fort en les tordant. J'hurlais! Ma femme s'approcha de moi et me dit:

  • Maintenant, voilà ce que tu vas vivre au quotidien. Tu regarderas ce à quoi tu n'as plus droit pendant que tu seras obligé de faire ce que tu ne veux pas!

Elle repris sa position de chienne et son amant l'enfila immédiatement. Pendant qu'il l'astiquait et que le gros me défonçait le cul, elle me disait:

  • Alors c'est bon d'être le vide couilles?

Le gros n'avait pas lâché mes couilles qui me faisaient énormément souffrir. Il cria:

  • Ca vient!!!

Je sentis de grandes giclées dans mon cul! Il bandait à fond et était vraiment au fond de mon cul. Ma femme hurla de plaisir, son amant gicla sur son dos et sur ses fesses. Elle me dit:

  • Maintenant t'es vraiment un vide couilles et un PD! Tu es vraiment un sous-m e r d e !

Elle lécha avec plaisir le sexe de son amant. Le gros fit de nouveau le tour de la table, me fourra sa bite dans la bouche et me dit:

  • Nettoie ça comme il faut, elle est pleine de m e r d e et de jute! Prend ton temps nettoie bien et avale bien tout.

Il resta longtemps dans ma bouche et je m'appliquais à nettoyer. Sa bite se ramollie au bout de cinq minutes. Il dit:

  • J'ai envie de pisser, où sont les chiottes?

Ma femmes lui répondit:

  • Tu as la bite dans un urinoir, profites-en! Et si il y en a une goutte qui déborde, brise lui les couilles!

Il se déversa dans ma bouche, j'avalais le plus vite possible en pensant à mes couilles et je réussie à ne rien laissé débordé. J'avais la nausée, je me dégoutait, mais je voulais de plus en plus obéir à ma femme. Son amant essuya le sperme sur les fesses de ma femme avec un mouchoir et essuya le mouchoir sur ma gueule en prenant soin de bien en étaler partout. Le gros demanda à ma femme:

  • Je peux jouer encore un peu avec!

  • Bien sûr! Tant que tu veux!

Le gros me détacha et me fit mettre accroupit devant les autres, le cul vers eux. Il dit à ma femme:

  • Je vais lui mascagner le trou cul pour qu'il comprenne bien, et aussi parce que j'en ai envie.

Il me mit un grand coup de pied dans l'anus qui me fit tomber au sol. Il me releva par les cheveux et dit:

  • Tu ne dois pas bouger, sinon c'est la même chose dans les couilles.

Au deuxième coup j'acceptais la douleur et je ne tombais pas. En tout il me mit dix coups dans le trou du cul. Je ne pouvais même pas le toucher tellement la douleur était forte. Il me fit retourné, me giffla et me dit:

  • C'est bien! Ta femme à dit que tu devais tout accepter!

Ma femme riait, elle me dit:

  • Tu ne peux rien refuser sinon j'envoie le courrier et les photos au sujet de ma nièce à ses parents. C'est ce que tu veux?

  • Non!

  • Alors tu as aimé tous ce qu'on t'a fait ?

  • Oui Maitresse!

  • On peut te le refaire quand on veut?

  • Oui Maitresse!

  • Qu'est ce que tu es?

  • Une sous-m e r d e , un gros porc, un gros tas de m e r d e , un PD et un vide couilles!

Bien! Alors ton amant a été gentil avec toi, il t'a bien enculé et défoncé le cul, et il t'a pas brisé les couilles parce que tu as bien obéis?

  • Oui Maitresse!

  • Bien alors je veux qu'il te donne cinq grands coups de pieds dans les couilles!

  • Mais Maitresse.....

  • Et tu l'appelleras chéri!

  • Oui Maitresse!

Le gros me fit mettre à quatre pattes au milieu de la pièces, jambes écartées et couilles pendantes, le cul vers les spectateurs. Le gros visa bien et m'explosa les couilles d'un coup de pied, j'hurlais de douleur et dit:

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

AIIIIEEEEE!!!!Merci chéri! Encore!

Ma femme était aux anges, elle me dit:

  • C'est bien gros porc! Allez va lécher le cul de ton chéri!

Le gros se tourna et écarta son énorme cul. Il avait des traces de m e r d e s plein la raie du cul. Je le léchais consciencieusement. Ma femme s'approcha de moi et me dit:

  • Comme tu as été une bonne lopette obéissante, je vais t'autoriser à juter, mais avec quelques conditions. Tu devras te masturber devant nous trois, au bord de la table basse, les couilles posées sur le bord de la table. Tu auras 60 secondes pour juter sur la table,mais attention tu ne devras pas jouir avant les 60 secondes, ni après. La première giclée devra sortir à 60 secondes pile. Si tu jutes avant: dix coups de pieds dans les couilles. Si tu n'as pas juté à la 60ème seconde: dix coups de pieds dans les couilles. Pour te faire plaisir je te caresserais les couilles avec mes orteils. Allez au boulot!

Elle m'enleva la coquille et je me mis en position. Elle regarda sa montre et mis le pied sur la table. Elle cria:

  • Go! Allez vas-y mon gros porc tu peux y arriver!

Ses orteils entrèrent en contact avec mes couilles. Ma femme ne m'avait pas touchée depuis plus de deux ans. Je fus très touché de cette attention et je me mis à bander immédiatement. Elle comptait toutes les cinq secondes. Au bout de trente secondes j'avais déjà envie de juter. Je lâchai ma queue pour ne pas jouir tout de suite. Ma femme arrêta ses caresses sur mes couilles et appuya très fort dessus en me disant:

  • Tu ne dois pas arrêter de t'astiquer!

Je repris le mouvement et elle repris ses caresses. Elle continuait de compter, je faisais tout pour me retenir. Les quinze dernières secondes furent horrible et elle décomptait à la seconde en disant:

  • 14, allez vas-y mon bon toutou,13, tu vas y arriver, 12, t'es un bon chienchien,11,....

A la 60ème seconde je laissais toute la sauce partir. Il y eut de longues giclées sur la table basse. Ma femme m'écrasa les couilles avec son pied et s'exclama:

  • Regarde moi cette pédale qu'on peut dresser comme un petit chien! Je te les presses bien car t'es peut-être pas prêt de rejuter gros tas! Allez t'arrête pas d'astiquer, je veux les vider!

Elle pressait de plus en plus fort et j'astiquait alors que plus rien ne sortait. Elle me fit continuer pendant une minute puis m'ordonna de me lâcher et enleva son pied. Elle me dit:

  • Allez nettoies maintenant, lèches moi tout ça et avale bien!

Je léchais et avalais mon propre sperme. Ma bite débanda vite. Ma femme me remit ma coquille. Le gros excité par ma prestation dit:

  • Oh c'était joli ça! Ca me donne envie. Allez tourne toi!

Il me prit comme une chienne et se vida les couilles pendant que femme rebaisait avec son amant. A la fin le gros partit après que je lui ai embrassé la bite, le cul et la bouche en lui disant Mon Chéri. Ma femme et son amant allèrent se coucher dans la chambre conjugale. Quant à moi je dormis tout nu attaché devant la porte de la chambre avec ma coquille et mon plug dans le cul. Ma femme a beaucoup gémi et joui pendant toute la nuit.

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